À métrique que les marées se succédaient, le rythme du rocher changeait imperceptiblement. Ce qui n’était au départ qu’un battement assidu devenait un nombre de pulsations asymétriques, à savoir si le rocher répondait à une force profonde plus qu’aux progressions de l’océan. Le musicien enregistrait tout séance avec une précision https://johnnylrrrq.ampedpages.com/les-tambours-de-la-cap-61147798