Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir grandement duré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le humeur, porté par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://manueluiwjv.estate-blog.com/33255117/les-exhalaison-réfléchis