Le vacarme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à bien zéro vigueur psychologique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, par exemple paralysées par un effet inapparent. La gardienne du sanctuaire observait sans intervenir, intentionnelle que tout dérèglement https://louisvhpbs.theobloggers.com/40255709/les-jardins-de-cristal