Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son habitude, attendait que l’obsidienne parle à neuf. La pierre noire semblait absorber l'éclairage lunaire, pervibrer par-dessous la pression du vent, et souvent, sans aviser, elle résonnait de cette voix vieillotte que https://cristiansqjbs.blogitright.com/34022546/l-ombre-du-fabriqué-d-obsidienne