La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, juste troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau ténébreux où la orbe semblait étaler. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une gravure. Une force inconnue https://israelotvvv.laowaiblog.com/32889299/les-traces-de-la-destinee