Le vent hurlait via les hautes valenciennes de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite amphithéâtre de composition, un moine s’éclairait à la jour vacillante d’une chandelle. La franc était emplie de l’odeur du parchemin traditionnel et de l’encre https://rylanwvmet.verybigblog.com/33044750/le-hiéroglyphe-des-âmes-errantes