Paris, 1875. Les rues pavées brillaient marqué par la bombe fine qui s’attardait sur les toits d’ardoise et les réverbères vacillants. L’air était chargé de brume, noyant les formes des passants qui se hâtaient mesure les cafés enfumés et les théâtres illuminés. Mais dans une ruelle spéciale, loin du chahut https://kameronfuckq.angelinsblog.com/32720876/les-comètes-de-la-destinee